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Brigitte Bardot sans langue de bois sur la maternité : “Ça n’en vaut pas la peine”

Dans son livre Mon BBcédaire, publié le 1er octobre, Brigitte Bardot évoque sa vision de la maternité, bien éloignée des définitions classiques et émouvantes de la plupart des mamans ayant désiré leur enfant.

Le 1er octobre, Brigitte Bardot a publié son livre Mon BBcédaire, dans lequel elle donne sa définition de plusieurs mots sélectionnés avec soin. Au fil des pages, l’ancienne actrice, qui a récemment célébré ses 91 ans, a notamment écrit, toujours de son écriture ronde et bleue, sa vision de la maternité. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que la maman de Nicolas n’a pas été dans l’émotion, mais dans l’honnêteté tout ce qu’il y a de plus brut. Elle a d’abord expliqué, factuellement, qu’il s’agit d’un « phénomène naturel qui permet aux femmes de porter en son ventre un fœtus fécondé par le sperme masculin ».

Par la suite, Brigitte Bardot a évoqué le bébé, « qui deviendra un petit être vagissant, fragile lors de l’accouchement douloureux ». Revenant au rôle de mère, l’ancienne actrice a écrit, ironiquement : « À ce moment-là, celle qui fût une amante devient une mère éblouissante du bonheur de sa responsabilité à perpétuité. » Avant d’ajouter, de sa plume incisive : « C’est auprès d’elle qu’à n’importe quel âge, on trouve l’amour absolu, la complicité, le courage de rire parfois. Une mère s’efface toujours et donne le meilleur d’elle-même à sa progéniture qui souvent, hélas, n’en vaut pas la peine. » Des mots durs qui ne surprendront pas ses plus grands fans, au courant depuis bien longtemps qu’elle a mal vécu la maternité. Aujourd’hui âgé de 65 ans, Nicolas, le fils unique qu’elle a eu avec son défunt ex-mari, Jacques Charrier, a toujours vécu dans l’ombre.

Les hommes de Brigitte Bardot

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Un fils unique comparé à « l’objet de [s]on malheur »

Dans son livre Initiales B.B, publié en 1996, Brigitte Bardot comparait sa grossesse à « une tumeur qui s’était nourrie d[‘elle], qu[‘elle] avai[t] portée dans [s]a chair tuméfiée, n’attendant que le moment béni où on [l]’en débarrasserait enfin ». Elle décrivait ensuite son fils comme « l’objet de [s]on malheur » qu’il « fallait qu[‘elle] assume à vie ». Même si, avec le temps, elle semblait avoir appris à l’aimer, l’ancienne sex-symbol ne se destinait pas à être mère un jour.

Article écrit avec la collaboration de 6Medias

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