Signe que ces négociations sont très importantes, c’est maintenant une équipe d’agents chez Quartexx qui s’est saisie du dossier de Lane Hutson.
Hutson est représenté par Sean Coffey, un agent en pleine ascension et qui compte plusieurs jeunes clients prometteurs, mais considérant l’ampleur de la situation, des membres plus expérimentés chez Quartexx se sont immiscés dans les négociations d’après ce que rapporte Darren Dreger.
Ce serait Ryan Barnes, directeur des opérations de l’agence aux États-Unis, qui aurait pris le contrôle et le tout serait supervisé par le très influent Darren Ferris.
Les Canadiens et Hutson se trouvent dans une impasse à l’heure actuelle en raison de philosophies différentes au sujet de la stratégie fiscale du contrat.
L’état-major du CH veut exploiter la convention de retraite, une disposition de l’Agence du revenu du Canada qui permettrait à Hutson de récupérer beaucoup d’argent à la fin de sa carrière, et ce, en étant fortement moins imposé.
Or, cette stratégie ne procurerait pas autant de liquidités immédiates à Hutson et ne lui offrirait pas la liberté d’investir son argent comme il l’entend et quand il l’entend. C’est pourquoi les contrats consentis aux vedettes contiennent souvent d’imposants bonis à la signature.
Le contrat signé par Noah Dobson avec les Canadiens, d’ailleurs, est assorti d’immenses bonis de ce genre : des versements de 11 millions $ pour chacune des trois premières années de l’entente.
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